Le ferry – Mats Strandberg

❯ Titre Le ferry
❯ Auteur Mats Strandberg
❯ Genre Horreur – fantastique
❯ Édition Bragelonne
❯ Collection Terreur
❯ Format Poche
❯ ISBN 1028102984
❯ Date de parution 16/10/2019
❯ Nombre de pages 576
❯ Prix 7,90€

4ème de couverture :

Ce soir, mille deux cents passagers traversent la mer Baltique à bord du ferry luxueux qui relie la Suède et la Finlande. Pendant vingt-quatre heures, ils abandonnent leur vie quotidienne et se laissent aller à être quelqu’un d’autre. Mais le mol rôde à bord. Et au coeur de la nuit, au milieu de la Baltique, il n’y a pas d’échappatoire possible. Surtout quand tout contact avec la terre ferme est mystérieusement coupé…
Si face à l’adversité certains se comportent en héros, cette nuit fatidique fait parfois surgir le pire chez d’autres, et à mesure que les disparitions inexplicables s’enchainent, il devient vital que le ferry n’arrive jamais à destination…

À propos de l’auteur/trice :

Né en 1976 en Suède, Mats Strandberg a commencé à lire Stephen King quand il était adolescent – ce qui provoqua chez lui de violents cauchemars récurrents. C’est ainsi qu’est née sa fascination pour le genre de l’horreur, qui l’a suivi toute sa vie. Mats a écrit le cycle d’Engelfors en collaboration avec Sara B. Elfgren, trilogie fantastique qui a rencontré… (source : Bragelonne)

Ressenti :

Ce récit est à classer au rayon « horreur/fantastique ».


Nous suivons un panel de personnages variés (dont j’ai eu beaucoup de mal avec les noms suédois, heureusement qu’un chapitre nouveau arrive à chaque personnage). Tous ont des particularités, le pré-adolescent et sa cousine du même âge bien plus mûre et un peu rebelle, la mère de famille en fauteuil roulant et son mari alcoolique, un dame ayant la soixantaine qui aimerait retrouver la jeunesse et l’amour, le couple homo, les deux jeunes femmes fêtardes, un chanteur sur le retour qui ne tient qu’avec la coke, et l’équipage.


La moitié du livre est consacrée à la présentation des personnages, la vie à bord et le début de la traversée (de la Suède à la Finlande), jusqu’au soir où la fête commence.


Une première partie assez lente et pas forcément très subtile dans les dialogues, avec pas mal de vulgarité et de débauche (est-ce la traduction ou le récit original qui est comme ça pour le language ? Je ne sais pas), je me suis dit que si cela continuait je laissais tomber.


Comme par hasard c’est ici que les choses sont devenus intéressantes, on bascule dans un moment d’incompréhension totale pour tout ce petit monde qui se retrouve avec une étrange épidémie à bord.
Cette épidémie ferait penser à une contagion par des zombies (morsure puis contamination en chaîne) mais c’est bien une histoire de vampires que l’auteur nous raconte, et attention aux âmes sensibles, ici c’est gore, le sang coule à flot, des têtes volent, les personnages principaux ne sont pas épargnés, n’importe qui peut se faire avoir, seule une stratégie de survie intelligente vous sauvera (peut-être).


J’ai bien aimé cette seconde moitié, malgré un manque de subtilité indéniable.


A réserver aux amateurs de récits horrifique sanglants.

Note : 2 sur 5.

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