La princesse sans visage – Ariel Holzl

4ème de couverture :

Dans les Royaumes Immobiles, l’existence est contrôlée par quatre monarques. Sans eux, la réalité serait réduite à un flot d’énergie magique et chaotique. Or le trône d’Automne, vacant depuis trop longtemps, menace cet équilibre : il faut lancer un nouveau sacre. Sept jeunes femmes peuvent y prétendre. La compétition sera sans pitié. Ivy est candidate malgré elle. À 18 ans elle a passé toute son existence cachée derrière les murs de son manoir et les parois de son masque.
Elle est une « Belle-à-mourir » : quiconque voit son visage est pris de folie meurtrière ou suicidaire. Propulsée dans le monde des Sidhes, la noblesse des feys, au cœur de manigances qui la dépassent, elle va devoir puiser dans ses ressources pour survivre. Un chemin qui la mènera bien plus loin qu’elle ne l’aurait imaginé…

À propos de l’auteur/trice :

Ariel Holzl vit à Marseille. Après avoir travaillé pour le jeu vidéo et le cinéma, il se consacre à l’écriture. Inspiré par les littératures de l’imaginaire, il a déjà été récompensé pour sa série Les Sœurs Carmines chez Mnémos (prix Imaginales jeunesse 2018, Prix Littéraire de l’Imaginaire Booktubers 2018). Il a déjà publié Temps Mort chez Slalom en 2020. (source : lisez.com)

Ressenti :

« La reine sans visage » est le premier tome de la série « Les royaumes immobiles », nous sommes sur de la Fantasy Young Adult, avec une jolie couverture.

C’est une lecture que j’ai moyennement aimé, niveau écriture c’est très bien et ce grâce à la plume d’Ariel Holzl qui est très fluide et toujours compréhensible, par contre certains points m’ont moyennement botté, mais c’est très subjectif, je n’arrive plus avec les histoires de princesses qui se battent pour le pouvoir, dernièrement j’ai lu « Three Dark Crowns » et cela m’a fait exactement pareil.
Alors oui l’héroïne m’a plus, c’est vrai, elle est bien construite et intéressante, les décors « extérieurs » m’ont plus aussi, mais dès que c’est dans les châteaux avec des bals et des épreuves, ça passe plus pour moi.

Le bestiaire de « Feys » lui est bien sympathique par contre car riche et détaillé.

J’ai beaucoup aimé la partie qui se déroule « in real life », mais j’ai également eu du mal avec les personnages importants, c’est donc mitigé.

La fin est assez surprenante, ce qui est un point fort indéniable, d’être surpris par des retournements de situations comme ici.

J’ai préféré le roman précédent de l’auteur « Temps morts » qui était plus dans mon genre, mais si la concurrence entre princesses et la course au trône vous plaît, foncez vous adorerez.

Je remercie sincèrement les éditions Slalom pour m’avoir fait parvenir ce roman.