4ème de couverture :

« Elle reporta son attention sur le piédestal. La cavité à son sommet ressemblait à une bassine. Et lorsqu’elle se pencha dessus, elle crut voir s’en élever un halo bleu pale, diffus, prenant naissance au-dessous des particules pareilles a du pollen. »
Lors d’une mission de routine sur une planète inconnue, l’exobiologiste Kira Navárez découvre un organisme vivant d’origine extraterrestre. Fascinée, elle s’approche de l’étrange poussière noire. La substance s’étend alors sur tout son corps et commence à prendre le contrôle. Kira, en pleine transformation, va explorer les dernières limites de sa condition d’être humain. Mais quelle est l’origine de cette entité ? Quelles sont ses intentions ? La scientifique n’a pas le temps de répondre à ces questions : la guerre contre les aliens est déclarée, et Kira pourrait bien être le plus grand et le dernier espoir de l’humanité.
Elle rêvait d’un monde nouveau. Elle vient de réveiller un cauchemar d’une ampleur intersidérale…

À propos de l’auteur/trice :

Christopher Paolini est un écrivain américain de fantasy et de science-fiction. Il commence à écrire Eragon, le premier roman de sa tétralogie L’Héritage, à l’âge de quinze ans. Ce cycle est aujourd’hui un incontournable de la fantasy, traduit dans plus de cinquante langues et vendu à plus de 40 millions d’exemplaires à travers le monde. Eragon a été adapté au cinéma en 2006. (source : Le Livre de Poche)

Ressenti :

C’est le premier roman que je lis de Christopher Paolini (oui oui c’est vrai, je n’ai jamais lu « Eragon »), je découvre donc sa plume avec ce premier volume d’Idéalis.

Une écriture que j’ai beaucoup apprécié, détaillée mais tout de même accessible à tous. Après le roman dans sa version poche fait 1008 pages (tout de même) et j’ai mis un petit moment à le lire mais c’est comme pour « Brandon Sanderson » par exemple, l’auteur travaille vraiment son univers.

Cet univers justement est foisonnant de vie, humains et colons, extraterrestres divers nous emportant dans une course poursuite au milieu d’une guerre complètement folle déclenchée par l’héroïne de l’histoire après avoir été contaminée par un artefact étrange, technologiquement très puissant mais doté d’une forme de conscience primaire la rendant puissante, même trop puissante n’ayant pas vraiment le contrôle de cet artefact.

De batailles en poursuites en passant par la vie et le voyage à bord de vaisseaux, le lecteur est vraiment submergé de surprises et d’action.

Le bestiaire extraterrestre lui est très bien étudié et donne à notre imaginaire de quoi se nourrir de bout en bout entre méduses intelligentes et entités informes et violentes au possible, sans compter sur d’autres formes de vies étranges et mystérieuses.

Finalement, malgré quelques passages assez longs (sur 1000 pages c’est un peu obligé), et d’avoir du temps pour s’engouffrer dans ces pages, j’ai passé un excellent moment de lecture comme je les aime et j’ai très hâte que la suite sorte au Livre de Poche Imaginaire !!

🆅🅴🆁🅳🅸🅲🆃

Les +

L’histoire très prenante

Une écriture très fluide

Des personnages et un bestiaire extraterrestre bien étudiés

Les –

Quelques longueurs

Je remercie très fortement William ainsi que les éditions du Livre de Poche Imaginaire pour leur confiance et l’envoi de ce roman.