
❯ Titre Apprendre à se noyer
❯ Auteur Jeremy Robert Johnson
❯ Genre Littérature contemporaine – aventure
❯ Édition Le Cherche Midi
❯ Collection Vice Caché
❯ Format Grand format – Broché
❯ EAN 9782749168036
❯ Date de parution 26/08/2021
❯ Nombre de pages 160
❯ Prix 19€
4ème de couverture :
Quelque part dans la jungle somptueuse et inquiétante d’un pays d’Amérique du Sud, un père emmène son fils pêcher, l’autorisant pour la première fois à s’aventurer au milieu d’un fleuve dont les eaux se révèlent aussi dangereuses que généreuses. Ce rite d’initiation va bientôt tourner au cauchemar lorsque le jeune garçon disparaît subitement. À la recherche de son enfant, l’homme débarque sur un rivage hostile, peuplé de tribus, de chamans et de sorcières.
Apprendre à se noyer est un conte initiatique et horrifique, saisissant par sa cruauté autant que par sa poésie et sa délicatesse. Jeremy Robert Johnson nous entraîne dans un voyage apocalyptique et intime qui, par-delà le macabre, offre une fable de toute beauté sur l’amour, la disparition, et la possibilité toujours présente, pour nous autres les vivants, de défier la mort pour lui arracher ce dont elle nous a privés.
À propos de l’auteur/trice :
Jeremy Robert Johnson est né en 1977
Ressenti :
Tout d’abord attiré par sa belle couverture et par son titre, le quatrième de couverture m’a convaincu de lire ce roman, et j’ai bien fait ! Ce fût le temps de quelques heures (j’ai dévoré le livre), une véritable immersion dans une histoire ou le personnage principal et son fils n’ont pas de noms, ils s’appellent l’homme, le garçon.
En pleine jungle amazonienne, un père initie son fils de 7 ans à la pêche dans la rivière non loin de leur village, une journée parsemée de conseils et de leçons, mais tout va basculer vers l’horreur, l’innommable.
Va s’en suivre une course contre la montre, contre la mort, contre l’angoisse et la culpabilité.
La seconde moitié du récit est surprenante, et la fin m’a bluffée.
L’écriture est immersive, précise et intéressante, avec ce sentiment de calme qui se transforme en tension, une pointe de fantastique vient saupoudrer l’histoire avec finesse.
J’ai retrouvé un peu l’ambiance du livre « Le vieux qui lisait des romans d’amour » mais en bien plus sombre, plus violent.
Le roman en lui-même est un peu court, mais on lui pardonnera tellement c’est intense.
🆅🅴🆁🅳🅸🅲🆃

Les +
Saisissant
Le côté « Fantastique » bien intégré
L’écriture
La magnifique couverture
Les –
r.a.s.
Je remercie sincèrement Benoît ainsi que les éditions Le Cherche Midi pour leur confiance et l’envoi de ce roman.

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