
❯ Titre La fin des océans
❯ Auteur Maja Lunde
❯ Genre Littérature contemporaine – écologie
❯ Édition Pocket
❯ Format Poche
❯ EAN 9782266307505
❯ Date de parution 03/09/2020
❯ Nombre de pages 368
❯ Prix 7,60€
4ème de couverture :
2017. Confrontée aux menaces commerciales qui pèsent sur son fjord, Signe appareille sur son voilier, direction le Sud de la France. L’écologie au cœur, la Norvégienne ne laissera pas fondre son glacier natal – devrait-elle affronter, pour cela, son premier amour…
2041. Guerre de l’eau, incendies, exode climatique… Sur les routes à travers le chaos du monde, une famille séparée tâche de se réunir. Dans un champ desséché, soudain : un voilier abandonné. Symbole tragique de la fin des océans, ou d’un nouvel horizon ?
À propos de l’auteur/trice :
Née en 1975 à Oslo, Maja Lunde a écrit des scénarios et des livres pour la jeunesse avant de se lancer dans la rédaction de Une histoire des abeilles, son premier roman pour adultes, best-seller traduit en plus de trente langues, et succès de la rentrée littéraire française 2017. La Fin des océans est son deuxième roman, paru aux Presses de la Cité sous le titre Bleue en 2019. (source : Lisez.com)
Ressenti :
J’ai aimé ma lecture mais j’ai quelques petites réserves sur certains points.
Tout d’abord, pourquoi avoir changé le titre du roman au passage en format poche ? Le livre s’appelle « La fin des océans » alors qu’en grand format il s’appelait « Bleue », ce n’est peut-être pas grave mais le titre « Bleue » correspondait beaucoup mieux à l’histoire, c’est le nom du bateau dans le livre, et les océans ne se sont pas complétement assachés dans l’histoire. Bref.. passons la dessus.
Les thèmes abordés sont bien-sûr l’écologie, le réchauffement climatique, l’exode pour échapper à la chaleur, la colère, l’incompréhension, l’espoir, le deuil, et encore bien d’autres que vous découvrirez.
L’histoire est belle, séparée en deux récits distincts, d’un côté on suit une femme d’âge mûr en 2017 qui vit sur son bateau après avoir quitté sa vie en Norvège, une militante qui aurait aimé protéger le glacier de son enfance alors qu’il est exploité pour les riches, et de l’autre côté nous sommes en 2041 avec un père et sa fille en bas âge fuyant la chaleur du sud de la France et se retrouve séparé de sa femme et son deuxième enfant, il va se retrouver dans un camps de réfugiés à se débrouiller comme il peut.
Les deux lignes de lectures ont un point commun mais ça, vous le comprendrez en lisant le livre 🙂
J’ai tout de même préféré quand le récit se déroulait en 2041 auprès de ce père et sa fille, la partie en Norvège m’a laissé un peu sur ma faim, presque de marbre.
L’écriture est, elle, très maîtrisée tout en étant facile à lire.
Je vous conseille tout de même cette lecture qui par moment va vous embarquer dans des émotions fortes surtout quand on découvre le fin mot de l’histoire.
🆅🅴🆁🅳🅸🅲🆃

Les +
L’histoire en 2041
Le sujet du réchauffement climatique
L’écriture
Les –
Pourquoi avoir changer le titre lors du passage en version poche ?
Les passages en 2017 que j’ai trouvé long
J’ai lu ce roman pour le « Challenge juillet sororité » #challengejuilletsororite organisé par Stelphique du blog https://fairystelphique.wordpress.com/
Une histoire des abeilles m’a déçue, du coup je n’ai pas envie de lire ses autres romans pourtant les sujets qu’elle aborde est à saluer !
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Oui les sujets sont vraiment bon et importants, après ici c’est bien mais il y à des inégalité d’intérêt selon laquelle des deux époques tu lis..
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Grâce à toi je découvre que Bleue a changé de titre en poche. C’est un livre qui me faisait plutôt envie (les sujets de l’écologie et de l’eau m’intéressent beaucoup) même si je connaissais déjà ses défauts/limites. J’attendais désespérément le format poche pour ne pas dépenser trop sans savoir que ce ne serait pas sous le même titre xD
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Pareil, c’est pour ça que je le lis après tout le monde, j’attendais « Bleue »…. mais c’est vraiment une pratique que je ne comprend pas, de changer de titre lors du passage en poche, c’est la deuxième fois que cela m’arrive et c’est vraiment pas simple, surtout qu’ici, « Bleue » aillait bien mieux avec le contenu.
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