4ème de couverture :

Alfred de Pergoal, ingénieur et créateur des plus beaux engins à vapeur de son temps, se rend au palais pour assister à la cérémonie du millénaire de Seth. Mais la capitale est une cocotte-minute. En ce soir de fête, les habitants, sous le joug d’une théocratie au système de castes injuste et brutal, sont prêts à tous les excès, et même à la révolution. Il va suffire d’un attentat pour sceller le destin du cercle-monde. Cette fois, c’est irrémédiable : l’Empire s’effondre.
L’effondrement est total. Il trouve son origine au sein des instances du pouvoir, les dirigeants de l’Empire sont impuissants à enrayer l’implosion du pays. Dans le chaos, le glissement de la théocratie vers un régime militaire implacable semble se dessiner. Alfred de Pergoal sera-t-il le porte-étendard de la rébellion défendant l’esprit et le savoir plutôt que les armes, la violence et l’obscurantisme ?

À propos de l’auteur/trice :

Sébastien Coville travaille actuellement comme consultant et scénariste dans l’audiovisuel. Il vit à Paris. L’Empire s’effondre est son premier roman. (source : Anne Carrière éditions)

Ressenti :

Je n’ai pas grand chose à dire sur ce premier tome, si ce n’est que je suis assez déçu de ma lecture.
Disons qu’il y a du bon et du moins bon et que d’arriver à la fin fût difficile.

Commençons par ce que j’ai aimé !

Tout d’abord l’environnement, entre steampunk, politique, social et fantasy, qui sont des thèmes que j’aime et qui sont bien retranscrits, l’ambiance d’un livre historique est là. J’ai également aimé les technologies et les visuels que j’ai pu m’imaginer avec plaisir.

La couverture qui elle est magnifique, même si c’est un détail, elle a le mérite d’être très représentative de l’ambiance.

Passons maintenant à ce qui fâche un peu…

Les personnages, même s’ils sont parfois intéressants, je ne me suis attaché à aucun d’eux car nous n’avons pas le temps d’en connaître un en profondeur qu’un autre fait sont apparition, comme si on les survolait.

Enfin si, il y a bien le chat du premier chapitre mais le pauvre est resté dans le récit pendant 2 pages et il fût sacrifié (j’adore les chats, j’en veux donc à ce destin avorté).

Question rythme c’est pas mal mais il y a tout de même des longueurs et ce a plusieurs reprises, ce qui m’a fait perdre mon attention et mon intérêt au récit.

Une déception donc, même si c’est tout de même un énorme travail d’écriture, il plaira certainement à nombre de lecteurs mais personnellement je ne continuerai pas l’aventure sur les prochains tomes.

Merci tout de même aux éditions Anne Carrière !

🆅🅴🆁🅳🅸🅲🆃

Les +

Le mélange de genres : steampunk, politique, social et fantasy

L’ambiance historique

La couverture

Les –

Manque d’attache aux personnages

Des longueurs à répétition

Je remercie sincèrement les éditions Anne Carrière pour l’envoi de ce roman.